Pour certaines personnes, le premier achat immobilier est l’une des acquisitions le plus marquantes dans leur vie. En tant qu’engagement à long terme et un grand investissement, les futurs acquéreurs ont peur de faire le mauvais choix et en font leur achat immobilier en source de stress. Cependant, pour que le premier achat ne rime plus avec stress, posez-vous les questions suivantes afin que tout se passe sans encombre.
Le budget est-il suffisant pour l’achat ?
Tout d’abord, avoir un apport personnel est vivement recommandé avant d’acheter un logement. En effet, peu de banques vont accepter un prêt si on ne verse pas une partie de la somme avec les économies personnelles. Cela permet de trouver facilement une banque pour financer le projet et il est même possible de négocier le taux d’intérêt.
Par ailleurs, il est possible de visiter le site https://www.maisonsmoches.be/ si vous avez hérité d’un bien immobilier et que vous vouliez le vendre pour en acheter le vôtre après. Ensuite, il faut connaître quelle somme on peut emprunter à la banque. En effet, il faut noter que le taux d’endettement maximum est de 33 %, en tenant compte le reste à vivre. Il ne faut pas aussi oublier d’ajouter les frais supplémentaires qui vont s’ajouter au prix du logement comme les frais de notaire, les assurances, etc.
Enfin, quand on effectue un plan de financement, il faut vérifier si on a droit à des aides à l’acquisition. Il en existe plusieurs, notamment pour les primo-accédants sur lesquels il faut se renseigner. Ces aides peuvent être fiscales ou bien des aides en matière d’emprunt. Parmi elles, on peut opter par exemple pour le Prêt à Taux Zéro ou PTZ.
Une agence immobilière est-elle nécessaire ?
Pour les acheteurs, le premier achat immobilier est parfois un moment stressant. En effet, une bonne partie de leurs économies est investie dans un logement sur un marché qui est un domaine tout nouveau pour la plupart d’entre eux. De ce fait, chercher à acheter sans aides peut être démoralisant. Un agent immobilier saura les rassurer, connaître leurs besoins et leur proposer des biens au prix du marché.
De plus, l’agent immobilier peut être utile dans tout ce qui concerne l’administratif de la recherche immobilière. En effet, grâce à lui, on peut comprendre le fonctionnement de tout ce qui est en rapport avec l’achat immobilier. Sans oublier qu’il peut aussi aider à négocier le prix du bien. En plus, les frais d’agence sont payés une seule fois, alors il n’y a pas de frais supplémentaire.
Quel est le moment idéal pour acheter ?
Si on veut, pour la première fois, acheter un bien immobilier, il faut savoir si le marché immobilier est propice à l’achat. Certes, il n’est pas facile de prévoir les évolutions du marché, mais il est toutefois conseillé de s’informer sur la conjoncture économique de la zone géographique. Bien sûr, acquérir un logement à un moment propice peut faire une belle plus-value immobilière.
Le premier achat est un moment important et un engagement sur le long terme. De ce fait, une fois qu’on connaît quelle somme on peut emprunter et sous combien d’années on doit le rembourser, la question est maintenant de savoir si on est capable de s’engager dans un projet qui s’étale sur plusieurs dizaines d’années.
Checklist juridique et technique avant la signature
Avant de parapher un compromis, il est essentiel de compléter votre analyse par une série de vérifications juridiques et techniques souvent négligées par les primo-accédants. Pensez à obtenir tous les diagnostics obligatoires, servitudes et procès‑verbaux liés au bien : diagnostic de performance énergétique (DPE), état parasitaire, recherche d’amiante et de plomb selon l’ancienneté, contrôle de l’assainissement non collectif et conformité urbanistique. Consultez le plan cadastral et le plan local d’urbanisme (PLU) pour vérifier les règles de constructibilité autour du terrain et l’existence de servitudes de passage ou de mitoyenneté qui pourraient restreindre vos projets d’aménagement. Pour une construction récente, demandez les attestations de conformité et la garantie décennale afin d’anticiper d’éventuelles réserves techniques.
Si le bien se situe en copropriété, élargissez la due diligence : étudiez les procès‑verbaux des assemblées générales, le règlement de copropriété, le montant du fonds de travaux et l’historique des charges pour détecter des travaux votés ou imminents. Évaluez la taxe foncière et les coûts d’entretien récurrents pour établir une simulation de trésorerie et un plan d’amortissement réaliste. En cas de doute sur l’état technique ou la valeur, n’hésitez pas à solliciter une expertise indépendante ou une visite technique détaillée. Intégrez des conditions suspensives claires dans le compromis (obtention du prêt, absence de servitudes lourdes, résultats favorables des diagnostics) pour préserver votre marge de manœuvre. Pour compléter votre recherche et comparer des offres locales, rendez-vous sur Netimmo via ce lien : rendez-vous sur Netimmo, où vous pouvez affiner votre veille immobilière et recouper les informations recueillies lors des visites.